Les êtres humains ont besoin de sommeil.
Saviez-vous que la privation de sommeil peut être mortelle ?
La police Suisse a bien sûr le savent et utilisez-le pour pleinement en vigueur.
J’ai appelé la police Cantonal Valais pour signaler un suicide vers 18:15 sur 28 avril 2015.
Ils me retenu prisonnier dans ma propre maison jusqu'à minuit, quand ils me charrié hors d’une salle d’interrogatoire dans le sous-sol du Commissariat de police de Martigny.
J’avais demandé un avocat beaucoup plus tôt, mais ils ont refusé ma demande, ainsi que de l’eau potable et l’accès aux toilettes. Pourquoi ont-ils fait qui ?
Faire glisser mon interrogatoire, dans le lendemain matin. Pour me porter vers le bas, en espérant que je voudrais glisser vers le haut et ils auraient un prétexte pour me tenir plus loin.
Je savais ce qui se passait, et j’ai essayé désespérément ne pas à glisser. En fait, je ne glisse une fois. Si la police Suisse vient de faire quelque chose vers le haut hors de l’air. Problème résolu !
Au moment où que j’ai vu mon avocat, il était environ 02:00, même si nous ne parlent pas pour longtemps. Maitre Fumeaux a dit je n’avais aucun choix mais pour faire quelle que soit la police dire, parce qu’une fois ma déposition terminée, il a dû quitter et les flics m’avait pour les prochaine 48h, et personne, pas même Dieu, pouvait intervenir.
Donc, mon premier forcé examen médical. Ils ont apporté à une femme, puis j’ai été dépouillé, photographié, et elle a pris 6 échantillons au-delà de l’extrémité de mon pénis.
Puis la séance d’interrogatoire a commencé pour de vrai et fini environ 05:30.
Donc au moment où ils m’ont emmené à l’hôpital de Martigny, pour un deuxième examen médical, je suis arrivé à la prison à 06:30.
J’ai eu à remplir des formulaires, puis le gardien dit "c’est au milieu de la nuit et nous avons mis des gens comme vous dans ces cellules spéciales. Nous ne voulons pas réveiller les autres prisons, alors nous vous mettons ici. Désolé que c’est si froid".
Il y avait une brise soufflant à travers et il s’agit de Suisse, c’est une brise froide. Incroyablement, je devais demander trois fois et insister pour obtenir une couverture. La police ne voulait pas m’endormir du tout. Et je n’ai pas.
Ils ont quelques nerfs prétendant se soucient les détenus, à moins qu’ils veulent dire sur eux faire souffrir autant que possible.
À 07:30, la police est venue de m’emmener à l’hôpital de Sion. Donc, j’étais menotté et charrié loin pour mon troisième examen médical. Ils ne pouvait pas ce faire tout à la fois ?
Non, car il est conçu pour vous faire tomber, pour donner, a plaidé coupable sous la contrainte pour les faire cesser.
Après avoir fini vers le haut à l’hôpital, j’étais pris pour un coup de gueule et l’impression au greffe du moteur de tous les lieux. Maintenant, ils avaient confisqué tous mes vêtements, et j’ai été dans une paire de pantalons de coton léger et un t-shirt. Ils m’ont donné une sorte d’ouverts chaussons en plastique pour marcher, qui étaient trop grandes ou petites ; Je ne me souviens pas. J’étais là, un matin de printemps tôt dans les champs de ski, sans chaussettes, sous-vêtements, cavalier ou de veste. J’avais transcendé la sensation de froide ; J’étais un bloc à pied de glace.
J’ai moi-même convaincu en sachant j’ai serait un jour prendre sa revanche sur ce malheureux pays raciste appelé Suisse.
- Log in to post comments